top of page

Mardi 5 Juillet 2016

Eglise de Négreville : Le Trio d’Argent – Flûtes.

​

Ce concert a été précédé, dans la journée, d’une master-class avec la classe de flûte de l’école de musique de Valognes, sous la conduite de Michèle Houitte.

Les élèves de flûte des écoles de musique du réseau ainsi que de l’école associative de Bricquebec pourront assister à cette rencontre.

Mercredi 6 Juillet 2016

Soirée "Concerts-promenade"

à Yvetot-Bocage

Duo « Biz'Art »

 

Les 20 doigts d'André Roe et de Geoffrey Baptiste se promènent sur les 88 touches d'un piano qui peut se faire tantôt intimiste, tantôt symphonique. Les goûts musicaux du duo vont de la musique romantique à celle du XXe siècle, mais avant tout, ils souhaitent partager la magie du monde musical avec le public. André est chambriste, continuiste (orgue et clavecin) et claviériste d'orchestre. Geoffrey, pianiste et celesta (petit piano droit), est attitré de l'Orchestre Philharmonique de Liège. Passionné de musique de chambre, il a fondé 2 duos dont Biz'Art (piano 4 mains et à 2 pianos).

 

Le programme :

​

​

​

Le duo propose un voyage romantique à travers les pays slaves, de la Hongrie aux steppes de l'Asie centrale, de Rachmaninov à Stravinsky en passant par Brahms.

​

A 20H30 :

​

A. Dvorak : Danses slaves op.72 n°1, 5, 8, 7

L. Janacek : Danses populaires moraves

J. Brahms : Danses hongroises n° 1, 2, 7 ,9, 13, 14, 15

​

A 21H30 :

​

I.  Stravinsky : 5 pièces faciles

A. Borodine : Dans les Steppes de l’Asie Centrale

S. Rachmaninov : Suite op.11

​

A 22H30 :

​

J. Brahms : Danses hongroises n°2, 3, 9, 13, 15

S. Rachmaninov : Suite op.11

​

A. Dvorak :

 

Les 16 danses slaves (op.46 et op.72) ont été originellement écrits pour piano à quatre mains, suite au succès des

Danses hongroises de Brahms, l’op.72 datant de 1886. Elles furent orchestrées par le compositeur et connurent une célébrité méritée. Dvorak ne cite pas de thèmes authentiquement populaires, mais recrée ses propres mélodies slaves, aussi vraies que nature…

​

L. Janacek : 

​

Comme beaucoup de musiciens d’Europe Centrale, il va recueillir un certain nombre de musiques folkloriques de sa région, la Moravie, pour s’en inspirer. Sa musique est singulière, portée par une écriture étrange et reconnaissable entre mille !

​

J. Brahms :

 

Les 21 danses hongroises écrites en 1869 et 1880 ont beaucoup contribué à la réputation de leur auteur.

C’est dans les cafés de Vienne que Brahms put entendre souvent des musiciens tziganes. Il répand dans ses danses tous les éléments du Verbunkos hongrois, en particulier le csardas…

​

I.  Stravinsky :

 

5 pièces faciles (Andante – Espanola – Balalaïka – Napolitana – Galop), écrites en 1916- 1917 à l’intention de ses enfants. Elles ont été orchestrées pour petit ensemble.

​

A.  Borodine :

 

Dans les Steppes de l’Asie Centrale est un poème symphonique composé sur commande pour le vingt-cinquième anniversaire du règne de l’empereur Alexandre II, en 1880. Cette œuvre descriptive, dédiée à Liszt, nous fait entendre le désert par le son ténu dans l’aigu, les pas des chevaux et des chameaux par les contretemps aux cordes en pizzicati, les soldats russes à travers un chant populaire, la caravane traversant le désert par un thème oriental.

​

S. Rachmaninov :

 

Suite ( Barcarolle – Scherzo – Chanson russe – Valse -  Romance – Slava). Ecrits en avril 1894, ces 6 duos nous font vivre une palette d’émotions et témoignent déjà du talent du compositeur dont la musique porte un cachet personnel, bien reconnaissable, qui tient à l’union de la virtuosité de l’harmonie et de la spatialité sonore avec un art de faire résonner le clavier comme un ensemble de cloches, ce qui constitue sa véritable signature.

Ensemble « Taraf Picant » 

​

Passionnés de musique des Balkans et compagnons de route de longue date, Loran Bozic, Rémi Delangle et Abel Chafaï sont rejoints par Iurie Morar, cymbaliste de renom. Invité par de nombreux ensembles, Iurie se produit dans des formations populaires ou symphoniques, en musique de chambre et joue sur un célèbre cymbalum. Rémi Delangle après un Master de clarinette, intègre la Garde Républicaine tout en poursuivant sa carrière en tant qu'invité au sein d'orchestres prestigieux. Il a fondé le trio « Les Flamants Noirs »(cors de basset). Loran Bozic joue du violon depuis l'âge de 3 ans, il a créé une dizaine de groupes et compose pour des films, le cirque et le théâtre. Abel Chafaï joue de la contrebasse depuis tout petit. Le son de son instrument  reste un cas unique dans son genre.

 

Le programme :

​

​

Musique des Balkans de Roumanie et Moldavie

 

Le lieu :

 

La Cour d'Yvetot-bocage. La Cour est connue au milieu du XIVe siècle, Guillaume Piquet porte le titre de seigneur d'Yvetot-Bocage. Son fils Jean lui succède et occupe la charge de Général des Finances de Normandie, Chambellan du Roi et capitaine de Cherbourg et Valognes. Le fief passe ensuite en possession de la famille Le Tellier, dite ensuite « de la Luthumière »et y restera pendant plusieurs siècles...

Le trio est la rencontre de trois musiciens venus d'horizons différents, du tzigane à la chanson en passant par le swing et les musiques latines. L'idée était de faire redécouvrir un répertoire connu de tous dans une forme différente et proposer une relecture d'un choix de titres, un voyage dans le temps où les époques et où les styles se mélangent. Manuel Decocq, violoniste virtuose, sans frontières ni limites, voyage entre la musique classique, le jazz manouche, le rock et les musiques du monde . Christian Anger, accordéon et accordina, après une solide formation classique, multiplie les expériences (tournées à l’étranger, cinéma, bandes son de courts métrages…) Musicien au sein de plusieurs formations, il est aussi l’accordéoniste de Bul Mazette. Antoine Godey, contrebassiste et chanteur, s'intéresse au jazz, aux musiques tziganes, latino, au théâtre et à la chanson. Il enregistre quatre albums de ses compositions. Amoureux des mélodies, il aime le jazz pour la liberté dans l'improvisation et la pulsation du swing, art qu'il cultive avec un brin d'humour.

​

Le programme :

​

 

Au cabaret de la vie, on accueille souvent de grands compositeurs (Les reconnaîtrez-vous au passage ?)     venus s'encanailler avec Cordes à bretelles ; leurs mélodies sont certes un peu bousculées, mais quelle ambiance ! Ici fricotées de manière peu conventionnelle, servies sur lit d'improvisation et soupçon de digressions rythmiques, ces chefs d’œuvres connus dans leurs versions orchestrales, swinguent tout à coup sous les doigts de ce formidable trio..

 

Le lieu : la nouvelle « Salle de convivialité »

Jeudi 7 Juillet 2016

Eglise de Tamerville : Quintette à vent Allegria

 

 

Cette formation, constituée début 2012, propose un répertoire varié, avec des pièces originales mais aussi des transcriptions pertinentes autour de compositeurs connus ou méconnus qui se sont inspirés de thèmes populaires : Dvorak, Bartok, Villa-Lobos, Malcolm Arnold, Medaglia…

Vendredi 8 Juillet 2016

Eglise de Brix : Jeanne-Marie Golse et Christophe Coin, Duo piano violoncelle.

 

​

Christophe Coin, violoncelliste, gambiste et chef d'orchestre.

Il obtient un 1er prix à l'unanimité de violoncelle au CNSMDP à 16 ans, étudie la viole de gambe avec Jordi Savall, et fait un stage de 6 semaines avec M.Rostropovitch. IL est professeur depuis 1985 et fait des master-classes internationales. Pendant 22 ans, il dirige l'Ensemble baroque de Limoges et fait une vingtaine d'enregistrement (coffret 3CD) « Victoires de la Musique ». Il est membre fondateur du « Quatuor Mosaïques » et fait une trentaine d'enregistrement soit comme partenaire de P. Cohen au piano forte soit  en sonate et trio. Il a joué avec de nombreux artistes de renom en concert ou enregistrement (A. Schiff, J-F Heisser, M.J. Jude au piano et G. Leonhard, C. Rousset au clavecin...). Il a enregistré en soliste avec plusieurs orchestres (Orchestre des Champs Elysées/Ph. Herreweghe /Schumann, Academy of Ancient Music/ Ch. Hogwood/ Haydn, Vivaldi et d'autres). Il est chef d'orchestre pour des musiques de film (« la note bleue »...), fait des créations de ballet et de théâtre.

Il participe à des colloques et rencontres internationales d'organologie et il est « Chevaliers des Arts et des Lettres ».

​
Jeanne-Marie Golse, pianiste,

fait ses études musicales à Caen, puis à Paris, se perfectionne en musique de chambre à Sienne, étudie l'accompagnement et le clavecin à Londres, la musicologie à la Sorbonne. Membre de l'Orchestre de Normandie depuis 1983, elle a participé à de nombreux concerts tant en France qu'à l'étranger, assumant les fonctions de pianiste d'orchestre, de chambriste et de soliste (Mozart, Chostakovitch, Beethoven, Messiaen. Jeanne-Marie a eu aussi le plaisir de jouer avec Patrice Fontanarosa,... et Christophe Coin. Elle a collaboré avec le studio électro-acoustique, « la Muse en circuit », participant à de nombreux concerts et spectacles, créations de musique contemporaine et s'est ensuite tournée vers le tango argentin, intégrant l'orchestre « la Tipica » créé par Juan Cedron. Aimant le contact avec les élèves, Jeanne-Marie enseigne depuis 1995 au Conservatoire Gustave Charpentier de Paris.

 

Vienne est à l’honneur ce soir avec trois œuvres composées entre les années 1808 et 1829 par Beethoven, Schubert et Chopin.

Le programme

​

Beethoven (1770-1827), au faîte de sa gloire, reçoit au mois de septembre 1808 100 ducats des éditeurs Breitkopf et Härtel pour ses cinquième et sixième symphonies, la sonate op.69 pour piano et violoncelle op.69 et les deux trios op.70. Né à Bonn, il arrive à Vienne en 1792 où il prend des leçons avec  Haydn puis Salieri. Haydn, qui incarne la fin du classicisme, est étonné par ce jeune homme bouillonnant et le surnomme « notre grand mogol ». Dès son arrivée à Vienne, Beethoven, reconnu d’abord pour ses talents d’improvisateur hors pair, est admis dans la société aristocratique.

Beethoven a écrit cinq sonates pour piano et violoncelle entre 1796 et 1815 qui reflètent l’évolution stylistique du compositeur. Ce sont les premières œuvres importantes pour cette formation et la troisième sonate est un modèle d’équilibre entre les deux instruments.

​

Chopin (1810-1849) est né à Varsovie d’un père français et d’une mère polonaise. C’est là qu’il passe son enfance et étudie la musique. L’été 1829, il se rend à Vienne, Vienne qui marquera « ses débuts dans le monde ». Il triomphe dans ses variations à la Krakoviak. La presse salue l’apparition de ce météore. Sur le chemin du retour, il s’arrête à Antonin chez le prince Radziwill et donne des cours de piano à sa fille Wanda « elle est jeune…dix-sept ans…et ma foi, c’est un vrai plaisir  que de guider ses doigts mignons…je serais volontiers resté dans ce paradis ». Il compose la polonaise brillante op.3 qui sera jouée pour la première fois par le prince au violoncelle et Wanda au piano. « Rien de plus que des effets brillants pour salon et pour les dames » écrivit Chopin à son ami Titus. L’introduction lente fût ajoutée quelques mois plus tard.

Schubert (1797-1828), lui, est né à Vienne et y restera toute sa courte vie. Il travaillera la composition avec Salieri. Schubert, qui n’a jamais eu de poste ou de commande officiels, aimait à se réunir avec ses amis pour faire de la musique, discuter littérature autour d’un verre et l’on a baptisé ces soirées schubertiades tellement sa musique  y était appréciée.

​

Schubert reçut commande d’une sonate pour arpeggione et piano en novembre 1824, vraisemblablement par le luthier qui construisit ce nouvel instrument. L’arpeggione, qui ne connut qu’un succès éphémère, est un instrument dérivé de la viole de gambe, frère du violoncelle et de la guitare, doté de six cordes et de frettes. Il se joue avec un archet. Ce soir,

Christophe Coin jouera un arpeggione de 1840.

​

BEETHOVEN : Sonate n°3 op.69 en la majeur pour piano et violoncelle

                    Allegro ma non tanto    Scherzo    Adagio cantabile    Allegro vivace

​

CHOPIN : Introduction et polonaise brillante op.3

​

SCHUBERT : Sonate en la mineur pour arpeggione et piano D 821

                       Allegro moderato    Adagio    Allegretto

                                   

Samedi 9 juillet 2016

The Three Belles

 

est un trio de jeunes Anglaises qui chantent la musique des Années Quarante avec un dynamisme et un souci de justesse qui découle de leur passion pour les grands interprètes de la période, que ce soient, entre autres, les Andrews Sisters, Vera Lynn, Glenn Miller ou Ella Fitzgerald, et en France Trenet, Sablon ou Piaf. Elles se sont rencontrées à l’Université de Portsmouth, une ville portuaire qui a souffert de 67 raids aériens pendant le ‘Blitz’. En troisième année elles ont décidé de regrouper leurs talents en formant The Three Belles pour chanter le répertoire des années quarante. Leur triomphal spectacle de fin d’année, In the Mood, épaulé par un orchestre swing de 25 musiciens, reçut la plus haute note jamais donnée à Portsmouth pour un spectacle estudiantin. Depuis, The Three Belles travaillent à plein temps; elles ont donné près de mille représentations, de festivals vintage aux soirées ‘electro-swing’, de grands théâtres londoniens à Trafalgar Square, aux bases de la RAF ou de la Royal Navy. Elles ont été invitées quatre années de suite au Festival d'Edimbourg, le plus grand d'Europe. Accompagnées par leur groupe swing The Bevin Boys elles ont chanté pour la Duchesse de Cornouailles et pour l'Ambassadeur des Etats-Unis. Elles connaissent aussi le plus grand succès en France : en Juin 2013, elles ont ‘fait un tabac’ (La Presse De La Manche) à Carentan. En 2014 elles ont été invitées à ‘Jazz sous les Pommiers’ à Coutances avec les Bevin Boys où une foule nombreuse est venue les applaudir. France Inter leur a aussi demandé de chanter ‘live’ lors de l’émission ‘Summertime’. Le 6 Juin elles ont chanté lors du plus important spectacle jamais organisé à la Cité de la Mer à Cherbourg, et de nouveau à Carentan pour célébrer le 70ème anniversaire du Jour J le 7 juin, sur la place centrale l’après-midi, (‘Les Three Belles ont enchanté le public’ La Manche Libre) et le soir au Grand Bal de la Libération avec un Big Band de 21 musiciens. (‘Les Three Belles ont fait danser des milliers de personnes’ Ouest France). Elles sont passées aux journaux télévisés de France 2 et France 3 nationaux. Elles ont aussi chanté à Port-Bail et Maroilles pour fêter les anniversaires de leur libération. Le 8 Juillet, elles furent les invitées des Marins du Cotentin pour une rencontre de styles vocaux contrastés. Ce fut salle comble pour ‘un concert d’anthologie’ (La Presse de la Manche) donné par ‘un trio époustouflant de jeunes Britanniques aux voix splendides’ (La Manche Libre).

​

La blonde Belle, Anneka Wass a toujours su qu’elle monterait sur scène et elle est fascinée depuis longtemps déjà par la comédie musicale. Elle a joué de nombreux rôles importants dans les ‘classiques’ comme Oklahoma, Little Shop of Horrors, Bugsy Malone ou encore les opérettes populaires de Gilbert et Sullivan. Elle aime un large éventail d’interprètes, mais peut-être en particulier Ella Fitzgerald, Judy Garland et Idina Menzel. La formation de The Three Belles est le point culminant d’une carrière déjà riche en rôles variés. Elle adore, comme ses comparses, la musique des Années Quarante, et chanter à la fois les grands succès ou les airs moins connus, solo ou en harmonie avec les autres Belles. La rouquine Sally Taylor chante et joue aussi depuis toujours, et le plaisir qu’elle prend à interpréter les grandes comédies musicales rejoint celui des ses amies les Belles. Elle s’est vraiment épanouie à l’université de Portsmouth, avec des rôles principaux dans Oliver, Me and My Girl, ou le pot-pourri des chansons de George et Ira Gershwin, Crazy for You. Elle étudie le chant depuis 10 ans, ce qui lui permet aussi de chanter Verdi ou Mozart. Elle aime la mode des Années 40 depuis longtemps, et la découverte des chansons popularisées par les Andrews Sisters en particulier l’a enchantée : non seulement la complexité de leurs harmonies, mais aussi leur entrain et leur sens de la comédie, qui fait l’écho de son caractère affectueux et enjoué. La brune Isabelle (Izzie) Seddon a déjà pas mal bourlingué à travers l’Europe. Elle aussi chante et joue depuis son enfance. Cours de danse, de clarinette, de chant surtout, avant d’arriver à Lytchett Minster School, une école spécialisée dans les Arts dramatiques, la musique et la danse. Là, les rôles se sont succédés : Oh What a Lovely War !, Barnum, Oklahoma, et d’autres encore. À Portsmouth, sa professeur de chant adore la richesse de sa voix de mezzo, et la pousse vers l’opéra, mais Izzie préfère le jazz et les musiques du monde, et pense surtout qu’il est possible de combiner la musique populaire et l’excellence. Le répertoire des Three Belles lui sied à merveille, et leur style lui permet une liberté d’interprétation qu’elle aime associer à la discipline des harmonies complexes. C’est elle, en particulier, qui connait bien la Normandie par son père, prof de français et résidant en Cotentin.

​

'The Bevin Boys'

 

est un trio jazz et swing. Will, le batteur, a joué avec de nombreux orchestres et Big Bands, y compris 'Harmony in Harlem', un orchestre modelé sur le Duke Ellington Big Band. Il chante et danse aussi, et a composé six des morceaux sur le premier CD des Three Belles. Il collectionne les vieilles batteries swing, qu'il restore avec amour. Peter, à la guitare, a fait ses études à la prestigieuse Leeds College of Music. Il a joué avec de nombreux groupes de jazz, principalement à Londres. Ed, à la contrebasse, a aussi fait ses études à Leeds. Lui aussi a joué dans de nombreux groupes et orchestres de jazz et de comédies musicales.

​

​

Pour cet unique concert en France en 2016, à Valognes, les Belles et les Bevins puiseront dans le répertoire jazz et swing : Andrew's Sisters bien sur, mais aussi Louis Jordan, Peggy Lee, Ella Fitzgerald, Armstrong, Sinatra, Louis Prima. Des morceaux originaux aussi. Pour la France Johnny Hess, Trenet, Sablon, Edith Piaf feront partie du concert.

​

Le lieu : Le Parc des Cordeliers à Valognes

​

L'origine de la paroisse est bien antérieure à la période d'invasions de vikings quand elle s'appelait Esnegervilla (domaine de Snaegeir, d'un nom de personne scandinave). L'église est construite, pour l'essentiel, au début XVIIe. A l'intérieur du choeur polygonal, un beau décor de panneaux peints, montre des instruments de musique de l'âge baroque. A remarquer, aussi, un maître-autel du XVIIIe et un tabernacle classé à titre d'objet. Le porche occidental est orné de pinacles et de consoles sculptées. L'église est elle-même environnée de plusieurs constructions anciennes, manoirs, pont médiéval, vieilles maisons du bourg qui en font le charme. L’église était affectée par des infiltrations d'eau nécessitant des travaux pressants. Ceux-ci viennent d’être réalisés, pris en charge par la commune, le Conseil Départemental, la Fondation du Patrimoine et l’Association « L’Espoir Négrevillais » que vous pouvez soutenir. Tous les joints extérieurs ont été également refaits.

​

L’Association Culturelle de Valognes tient à remercier :

pour leur participation : la ville de Valognes, les communes de Négreville, Brix, Tamerville, Yvetot-Bocage, la Communauté de Communes du Cœur du Cotentin, le Conseil Départemental de La Manche, le Conseil Régional de Normandie, le Ministère de la Culture et de la Communication, l’Office du Tourisme du Cœur du Cotentin, la Librairie Ryst, les Commerçants partenaires, la Presse de la Manche, France Bleu Cotentin, France 3 Normandie, l’agence du Crédit Agricole de Valognes, le Pays d’Art et d’Histoire, Les Amis du Donjon, les « Mousquetaires » des services techniques, tous les bénévoles

et pour leur hospitalité : Madame et Messieurs les Maires de Brix, Négreville, Tamerville, Valognes, Yvetot-Bocage, Monsieur le Curé de Valognes, Monsieur le Curé de Bricquebec,

Madame et Monsieur les propriétaires de La Cour à Yvetot-Bocage, La direction de l’hôpital de Valognes.

​

​

Vous pouvez soutenir notre festival en devenant membre bienfaiteur

ou membre adhérent de « L’Association Culturelle de Valognes ».

bottom of page